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Expo « Parcours de combattantes »

Du 4 au 24 mai 2024, venez visiter au CPCR l’exposition « Parcours de combattantes : 125 ans de luttes politiques des femmes en Belgique », organisée par le CPCR et l’IHOES dans le cadre du festival Porte-Voix !

À la naissance de la Belgique en 1830, les femmes sont exclues du champ politique. Seule une infime fraction de la population a le droit de voter. Ce n’est qu’au début du XXᵉ siècle que les femmes obtiennent les premières avancées, notamment l’éligibilité. Mais il faut attendre la fin de la Seconde Guerre mondiale (1948) pour qu’enfin un véritable suffrage universel soit instauré en Belgique, incluant les femmes. Ce n’est pourtant que très lentement que, petit à petit, de scrutin en scrutin, la Belgique s’engage sur le chemin d’une représentation plus équilibrée des hommes et des femmes en politique… chemin sur lequel il reste encore, à l’heure actuelle, un certain nombre d’étapes à franchir.

Cette exposition, créée dans le cadre du 70ᵉ anniversaire du droit de vote des femmes en Belgique, parcourt plus d’un siècle de luttes politiques des femmes, avec des temps forts et des temps morts. Elle retrace un véritable… parcours de combattantes !

INFORMATIONS PRATIQUES
Au Centre polyculturel résistances (CPCR) – Jonruelle 11-13, 4000 Liège (Belgique)
Du lundi au vendredi de 10h à 16h – En soirée : lorsque le CPCR abrite des activités – Jeudi 9 mai (jour férié) de 11h à 16h – Samedi 11 mai (jour de la Pride de la TPG) de 10h à 16h – Vendredi 17 mai de 10h à 20h, suivi de la pièce de théâtre « Et un matin tout était en flamme » (réservations sur animations.ep@cpcr.be)
Entrée libre sans réservation pour visiter l’exposition
https://portevoix2024.be/…/parcours-de-combattantes…/

Visites guidées avec l’IHOES les 4 mai 18h, 21 mai 14h et 24 mai 18h. D’autres visites sont possibles sur réservation auprès de info@ihoes.be ou animations.ep@cpcr.be

Conception de l’exposition : Institut d’histoire ouvrière, économique et sociale (IHOES) | Réalisation : Soralia | Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles | Organisation : CPCR et IHOES | Dans le cadre du festival Porte-Voix

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AVRIL au CPCR

Illégal – 12/04/24 – 18h30 au CPCR

Le CPCR, la JOC Liège et le média SCAN-R vous invitent à la projection du film de Olivier Masset-Depasse, « Illégal ».

Synopsis : Tania et Ivan, son fils de 14 ans, sont russes et vivent clandestinement en Belgique depuis huit ans. Sans cesse sur le qui-vive, Tania redoute les contrôles de police jusqu’au jour où elle est arrêtée. La mère et le fils sont séparés. Tania est placée dans un centre de rétention. Elle fera tout pour retrouver son fils mais n’échappera pas pour autant aux menaces d’expulsion.

Durée du film : 95min
Année : 2010
Langue: français

La projection aura lieu à 19h, s’en suivra un moment de discussion et d’échange sur le film.

MARCHE VOTTEL 25 ANS –  14/04/24 – 14h Place St Lambert

25 ans, Vottem, je ne l’accepte toujours pas !!

Il y a 25 ans, en mars 1999, s’ouvrait le centre fermé pour étrangers de Vottem. Aujourd’hui, il existe en tout 6 centres fermés pour étrangers en Belgique dont actuellement un seul en Wallonie. En 2023 ils ont une capacité théorique d’environ 700 places. En 2023, 8333 personnes ont été éloignées de Belgique, dont 3383 à partir d’un centre fermé par une expulsion forcée, 1843 refoulements directement à l’arrivée à l’aéroport, 3107 départs « volontaires » (Le Soir 6/02/24) . De nouveaux centres fermés sont en projet : à Jumet, à Zanvliet, et un autre à Jabbeke remplacerait celui de Bruges afin d’augmenter encore le nombre de retours forcés. Ce durcissement de la politique migratoire de l’Etat belge est à mettre en lien avec la contamination des idées de l’extrême-droite.

Nous n’acceptons pas :

  • Le renvoi vers leurs pays d’origine des personnes alors qu’elles ont fui des persécutions de toutes sortes, qu’elles soient politiques, racistes, sexistes ou homophobes etc.. Ou encore la guerre, les conséquences du réchauffement climatique, la misère liée à l’exploitation. Beaucoup n’ont pu obtenir un titre de séjour en Belgique, à cause de la politique restrictive de l’Etat belge en matière d’asile, mais aussi d’accès au regroupement familial, d’obtention d’un permis de travail ou d’un séjour étudiant etc.
  • La détention sur simple décision d’une administration, l’Office des Etrangers ; il ne s’agit pas d’une ordonnance judiciaire, d’un délit, mais d’un enfermement arbitraire, contraire aux Droits Humains.
  • La violence exercée à l’égard de ces personnes : les centres fermés ont comme objet la mise en œuvre du processus d’expulsion, tout est organisé pour briser la résistance à celle-ci. Dès qu’un.e détenu.e proteste contre les conditions de détention ou se montre opposé à son expulsion, il se retrouve au cachot -prison dans la prison- , ou en isolement, cachot déguisé ! La réalité des centres fermés, ce sont aussi des décès : suicides, décès de personnes mises au cachot alors qu’elles sont dans une situation de santé préoccupante. Ce sont des coups, des tortures, des insultes portés au paroxysme au moment de l’expulsion.
  • La maltraitance : la récente grève du personnel du centre fermé de Vottem en décembre 2023 a mis en lumière des conditions sanitaires et de vie déplorables non conformes à la dignité humaine. Dans les centres fermés se trouvent aussi des personnes malades, vulnérables, dont les soins ne sont pas pris en charge.
  • La séparation des familles qui devient définitive au moment de l’expulsion : une étude récente de JRS (Jesuit Refugee Service) – rapport_separation_de_familles.pdf (jrsbelgium.org – montre que 40% des personnes détenues ont une famille en Belgique, belge, européenne, ou étrangère avec titre de séjour ! Leurs enfants en souffrent quotidiennement, ainsi que leurs parents, leurs conjoint.e.s.
  • Le retour volontaire imposé par des Coachs de l’Office des Etrangers aux « sans-papiers » convoqués qui, s’ils n’obtempèrent pas, sont menacés de détention et d’expulsion.
  • L’absence de perspective de régularisation du séjour pour celles et ceux qui ont tissé des liens et construit leur vie ici, et vivent au quotidien dans la précarité et la surexploitation.
  • Le non-hébergement des demandeurs d’asile, laissés pendant des mois à la rue au mépris de toutes les conventions internationales !
  • Le futur Pacte Européen sur l’Asile et la Migration qui renforcera l’Europe forteresse par des centres fermés aux frontières extérieures prévus aussi pour des familles

Nous revendiquons :

La suppression des centres fermés pour étrangers

L’arrêt des expulsions

Une politique d’asile et d’immigration qui respecte les Droits Humains

Le droit de vivre en famille

La régularisation des sans-papiers

Le respect du droit d’asile, la liberté de circulation

RDV LE 14 AVRIL

14h Départ Place Saint-Lambert
15h Enclos des Fusillés
16h Devant le centre fermé de Vottem

Quand la police tue ! 17 /04/24 au Cinéma le Parc

Projection unique suivie d’une rencontre avec Cécile Guypen, réalisatrice et Selma Benkhelifa du Front de Mères et de Progress Lawyers Network.

En collaboration avec PAC ; PEC ; Barricade ; JOC ; CPCR ; Grignoux ; Voix de Femmes

Quand la police tue livre le récit sensible de quatre familles à qui la police belge a arraché un être cher. Leurs témoignages se font échos et mettent en lumière le caractère structurel des violences d’État, de l’impunité policière et leur dimension raciste. Face à ce système mortifère, les familles mènent un long et courageux combat.

Un film produit par Zin TV, réalisé par Cécile Guypen ; Belgique ; 2023 ; 1h01; VF.

Tarifs habituels aux caisses des cinémas et en ligne à partir du 27 mars.

17h – 19h : Atelier sur le traitement médiatique des violences policières

Avant la projection le CPCR et Barricade propose un atelier – discussion sur « le traitement médiatique des violences policières » avec :

– Rémy Farge, de la Ligue des Droits Humains,

– Arthur Sente, journaliste au pôle enquête du SOIR. Depuis mai 2021, il garde désormais ses yeux ouverts sur le monde policier et ce qui a trait à l’actualité judiciaire et sécuritaire.

– Sarah, journaliste chez ZIN TV, un média en ligne indépendant et en accès libre qui montre à l’écran des réalités peu entendues, visibilise les mouvements sociaux, donne un espace d’expression à d’autres « expert.e.s ».

RDV au café Le Parc des Grignoux, à Droixhe,
https://www.facebook.com/events/298156589983746

19h – 20h : stands associatifs

20h : Projection

ACABAR – 18/04/24 – au CPCR à 18h

Et si on discutait de violences policières ?

Que tu sois témoin ou victime de violences policières, que tu aies envie de te solidariser avec les victimes ou de dénoncer les violences policières, ou si le sujet t’intéresse, tout simplement, rejoins-nous le jeudi 18 avril à partir de 18h pour le premier ACABAR au Centre Poly Culturel Résistances.

L’ACABAR est un espace d’échanges, de témoignages et de rencontres entre des personnes qui souhaitent s’emparer de la question des violences policières à Liège.

Le concept est simple : on ouvre le bar et on se rassemble autour d’une table pour discuter des violences policières à Liège.

Bref, bienvenu.e à la première Assemblée Citoyenne et Associative Bilatérale Anti-Répression (ACABAR).

*** L’organisation se réserve le droit d’entrée

Queer Market – 20/04/24 – de 12h à 18h au CPCR

Le 20 avril prochain sera animé au CPCR !

Nous acceuillons en effet le QUEERMARKET édition estivale de nos ami-es de La TransPédéGouines de 12 à 18h. Plus d’informations sur la page de l’événement.

Nous vous invitons également à partir de 16h pour une Discussion-débat: Être LGBTQIA+ à l’école publique. Discrimination, représentation et éducation. avec Alice, ancienne institutrice qui vient nous partager son expérience, son analyse, et nous inviter à envisager les perspectives pour relever le défi de l’inclusion à l’école.

Au plaisir de vous y voir nombreux-ses !

Délégué-e-s dicriminé-e-s, personnel en danger !

Conférence – débat   – 24/04/24 – 18h30 au CPCR

Mauvaises évaluations, stigmatisation, pressions, mise à l’écart, dénigrement, harcèlement, licenciement… tant de différences de traitement que vivent certain.e.s délégué.e.s sur leur lieu de travail, uniquement en raison de leur engagement syndical.

Et pendant que les représentants des travailleurs sont pris pour cibles, ce sont les conditions de travail de toutes et tous qui sont mises à rude épreuve : travail en sous-effectifs et mise en concurrence des personnes, que ce soit dans le privé ou dans le public, afin de réduire les coûts et d’accroitre les profits, exigences de productivité croissantes, mise en péril de la santé et de la sécurité des travailleurs… et parfois même des bénéficiaires, lorsqu’il s’agit des secteurs des soins et des services à la personne.

Lorsqu’un délégué au CPPT est empêché de fonctionner au sein d’un établissement scolaire et que les équipements de prévention en cas d’incendie sont inexistants, c’est l’ensemble du personnel mais aussi des élèves qui est en danger. Lorsqu’une déléguée dans une maison de repos ne peut agir pour que le personnel soignant travaille dans des conditions de sécurité et d’hygiène maximales, c’est le bien-être des patients qui en est également affecté.

Les représentants des travailleurs sont les garants de la démocratie sociale dans les entreprises et pour cette unique raison, certains sont purement et simplement discriminés.

En effet, le critère de la conviction syndicale a été ajouté en 2009 à ceux listés par la loi anti discrimination du 10 mai 2007, sur base des observations de la Cour constitutionnelle : l’affiliation ou l’appartenance à une organisation syndicale, ainsi que l’activité menée dans le cadre d’une telle organisation doivent être considérées comme l’expression de l’opinion syndicale de la personne concernée et sont désormais protégés.

Malheureusement, cette Loi est encore trop peu connue et le quotidien des représentants des travailleurs reste parfois très compliqué.

A la veille des élections sociales, alors que chacun se demande quels rôles doivent jouer les représentants syndicaux, nous nous interrogeons sur le cadre qui leur permet d’assurer pleinement cette représentativité.

Venez en discuter avec nous, le 24/04/24 à partir de 18h30 au CPCR, Jonruelle 11, Liège.

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Révolution des œillets

Dans le cadre de son cycle Ephémérides Politiques, le CPCR vous invite à quatre jours d’activités autour de la révolution des œillets au Portugal *.

Il y a 50 ans, le 25 avril 1974, la révolution des œillets éclatait au Portugal et libérait le pays de la dictature Salazariste qui dominait le Porturgal depuis 1933.

UNE EXPOSITION

Du 23 au 26 avril 2024, exposition d’affiches et de textes militants de l’époque. Accessible gratuitement de 10h à 16h. Possibilité d’organiser des visites animées pour les groupes. Inscription obligatoire et infos : sarah@cpcr.be – Le mardi 23 avril à 18h : vernissage de l’exposition

UN CINE-DEBAT

A la suite du vernissage, toujours le mardi 23 avril, nous organisons une projection – discussion à 19h autour du film Captaines Avril.

Capitaines d’avril (Capitães de Abril) est un film franco-portugais de Maria de Medeiros réalisé en 2000. Capitaines d’avril retrace la révolution des Œillets, qui se déroule les 24 et 25 avril 1974 et renverse l’Estado Novo créé par Salazar et poursuivi par Marcelo Caetano. Ce film suit différents protagonistes comme le capitaine Salgueiro Maia (Stefano Accorsi) ou Manuel (Frédéric Pierrot).

UN ÉCOUTE COLLECTIVE

Le jeudi 25 avril à 19h, écoute collective du podcast HERDADES et discussion avec le réalisateur Sébastien Vanderborght

HERDADES
Alentejo, Portugal, printemps 1976.

La Révolution des Œillets a tout juste deux ans, et dans les vastes campagnes du Sud, soumises depuis des siècles à un régime quasi féodal, les travailleurs agricoles se sont emparés d’un million d’hectares autrefois aux mains de riches propriétaires. Ils s’organisent en centaines de coopératives, ils défrichent, sèment, plantent, irriguent, récoltent, et commencent déjà à rattraper le retard de la région dans la production agricole du pays.
A l’étranger, bien des regards passionnés sont tournés vers ce pays fraîchement sorti de 48 ans de dictature. Mais dans un contexte de guerre froide et d’intégration européenne, certains, au Portugal comme ailleurs, voient d’un bien plus mauvais œil le développement rapide de cette économie collectiviste…

Premier volet d’une série de trois documentaires en cours de réalisation.

UN REPAS SOLIDAIRE

Le vendredi 26 avril à 19h, Feijoada Solidaire au profit du Club des Travailleurs Portugais de Liège.

Réservation obligatoire et infos :
sarah@cpcr.be ou au 0491 024 730

* La révolution des Œillets a la particularité de voir des militaires porteurs d’un projet démocratique (mise en place d’un gouvernement civil, organisation d’élections libres et décolonisation…) et cherchant à renverser une dictature sans pour autant instaurer un régime autoritaire et militaire.

C’est l’instauration de la démocratie au Portugal après 40 ans d’une chape de plomb : la dictature salazariste. Cet événement marque le début de la démocratisation du Sud de l’Europe, celui-ci étant suivi par la chute des dictatures espagnole et grecque.

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Mawda « Autopsie d’un crime d’état »

Dans le cadre de son cycle d’activités sur les violences policières le CPCR vous invite à la présentation du livre – BD « Mawda : autopsie d’un crime d’état » aux éditions La Boite à Bulles en présence de l’auteur, Manu Scordia.

Cette soirée sera aussi l’occasion de faire un retour sur l’affaire Mawda avec Robin Bronlet du cabinet d’avocats Progress Lawyers qui a représenté les parents de Mawda tout au long de leur combat judiciaire.

La nuit du 17 mai 2018 sur une autoroute belge, une camionnette transportant des migrants tentant de passer en Grande-Bretagne est prise en chasse par des policiers. Cette course poursuite se solde par la mort d’une petite fille de deux ans, Mawda, atteinte en pleine tête d’une balle tirée par un policier. Un drame qui fait grand bruit dans l’opinion publique.

Les jours suivants, plusieurs versions des faits se sont succédé, émanant du Parquet et relayées par la presse : l’enfant serait morte d’un traumatisme crânien car les migrants se seraient servis de sa tête comme bélier pour casser la vitre ; puis est évoqué un échange de coups de feu entre la police et les occupants de la camionnette…

Il a fallu la contre-enquête du journaliste Michel Bouffioux pour que soient mises à jour les incohérences contenues dans chacune des versions proposées.

Sur la base de multiples sources et témoignages, Manu Scordia compose un ouvrage coup de poing qui retrace le parcours de Mawda et de ses parents et explore tous les angles morts de ce drame.

#Justice4Mawda

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Journée de la terre

Lundi 1er avril 24 au CPCR dés 17h

Le 30 mars 1976, les Palestiniens, protestaient contre de nouvelles spoliations de leurs terres. La répression israélienne fut comme a son habitude brutale est meurtrière, depuis lors, cette journée commémore et symbolise la lutte du peuple palestinien contre son déracinement et la confiscation de sa terre. Depuis de nombreuses années le CPCR en partenariat avec l’ABP Liège organise cette commémoration. Aujourd’hui plus que jamais le CPCR soutien les actions de solidartié avec le peuple palestinien. C’est donc de façon tout à fait naturelle que nous participons de manière active, depuis sa création au Collectif Liège Palestine Solidarité, qui organise cette année, cette triste commémoration.

Comment pouvons nous contribuer efficacement à la solidarité, au cessez le feu, à la reconstruction….? L’entretien avec Pierre Galand, nous permettra sans doute de répondre à ces questionnements – ensembles nous pourrons imaginer des formes d’actions collectives, pour que notre soutien au peuple palestinien soit le plus judicieux possible, RDV donc, ce lundi 1er avril dés 17h

•17h : ouverture des stands
•17h30 : conférence de Pierre Galand, président de l’association belgo-palestinienne
«Actualité et Perspectives pour la Palestine. Que faire à partir de la Belgique?»


•20h30 : Repas de Ramadan – Cuisine palestinienne : Kafta en sauce et accompagnements, thé à la menthe et dessert).
La Harira (soupe marocaine) sera servie dès 20h10.

•Moment culturel : Un groupe de danse folklorique palestinienne sera présent.

PAF : sans repas : 5 euros
Avec repas : 15 euros.
L’inscription pour le repas est obligatoire par mail à : info@cpcr.be

Contact : liege.palestine@gmail.com

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Rencontre et discussion avant la projection du film « Nous n’avons pas peur des ruines » aux Grignoux

En 2018, Yanis et Maud Youlountas (1) venaient présenter leur film L’amour et la Révolution (2) à Liège. De cette rencontre est né le collectif Convoi Solidaire Liège-Exarcheia (3) qui a envoyé trois camionnettes remplies de matériel lors du Convoi Solidaire vers Exarcheia en 2019 (4)

Le CPCR les accueillera le 19 mars à 18h, avant la projection aux Grignoux, pour une rencontre et des échanges, autour de la situation actuelle d’Exarcheia et de la Grèce.

Exarcheia, c’est un quartier en résistance au milieu d’Athènes où se pratique des expériences incroyables d’auto-gestion, de solidarités, de vies collectives et de luttes.

Plus d’infos :

(1) /// Le site de Maud et Yanis Youlountas :
http://paspeurdesruines.net/

(2) /// Le film L’amour et La Révolution :
https://youtu.be/wNSfoTYY3hA?si=lYjY6hUszgE3jVTJ

(3) /// La page du collectif Convoi Solidaire Liège-Exarcheia :
https://www.facebook.com/LiegeExarcheia

(4) /// Convoi Solidaire vers Exarcheia 2019 :
http://blogyy.net/…/retour-en-photo-sur-le-convoi…/

(5) /// Bande d’annonce du film Nous N’avons Pas Peur Des Ruines :
https://youtu.be/fvk_wXeaVRo?si=aFjSai8IQYmtcMcf

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Assemblées citoyennes sur le logement

Suite de nos ateliers citoyens – n’hésitez à suivre les activités proposées via notre page facebook https://www.facebook.com/events/913219110293947/?ref=newsfeed

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Concert NENA « La Raiz »

Samedi 23 mars 2024 à 20H

Un projet en partenariat avec le CPCR – « La racine » une incursion dans les souvenirs, dans cette mémoire qui construit notre identité.

Nena – la RaÍz
oscillant entre la Nouvelle Chanson latine, la folk et la rumba flamenca, Nena s’inspire de la poésie des grandes chanteuses traditionnelles (Chavela Vargas, Violeta Parra, entre autres) et allie son amour pour les chansons dénudées, fragiles et vulnérables aux rythmiques entêtantes ibériques.
Surnommée dès son plus jeune âge par sa famille « la petite Pasionaria », Nena est née à Seraing en bord de Meuse dans une famille d’exilés politiques espagnols. La chanteuse intègre très tôt la révolte en son sang et celle-ci grandit en même temps qu’elle et que son processus créatif. Son écriture et ses compositions sont donc marquées par cette Espagne rurale que ses grands-parents ont dû fuir et par ces déchirures migratoires. Dès les premières mesures, on peut sentir l’odeur de la tortilla, la couleur des murs, les piments séchés et la fougue des interminables débats familiaux à table.
Son premier projet solo « la RaÍz » nous raconte cette micro-histoire, un petit bout de chemin introspectif, un collage de souvenirs et d’images de l’enfance, une musique du cœur qui nous transperce à vif. Entre deux territoires, entre fuite et retour, Nena chante toujours à travers le prisme de l’espoir, de la beauté des petites choses et de l’amour solaire.
Accompagnée sur scène par plusieurs musiciens bien connus de la scène liégeoise, Mohamed Dziri à la guitare, Antoine Dawans à la trompette, Nicolas Puma à la contrebasse et Antoine Rotthier (Bxl) à la batterie et aux percussions, avec son show « la RaÍz », Nena risque bien de prendre vos émotions au dépourvu. Du dolorisme poétique à l’exaltation de la joie, Nena marque les esprits avant tout par son intensité.

Infos pratiques:
Où? Cpcr – Rue Jonruelle 11 – 4000 Liège
Entrées: 8€ en prévente – 10€ sur place


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CYCLE POLITIQUE & ÉLECTIONS

Le CPCR propose son cycle « politique et élections », 3 après-midi pour poser nos questions et en discuter en groupes et trouver des réponses !

Comment fonctionnent les institutions belges ? C’est quoi la gauche et la droite ? Comment ça marche le vote ? Est-ce que la politique s’arrête aux élections ?

Inscriptions souhaitées sur: animations.ep@cpcr.be

Il n’est pas nécessaire de participer aux 3 après-midi, mais il existera de fait une continuité entre les activités des trois dates.

N’hésitez à partager cette information autour de vous.

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Ciné-Débat : Palestine

Mardi 20 février 2024 à 18h – CPCR

« Dans la périphérie rurale de la ville de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Amal, Fouad, leurs frères et leurs cousins ont perdu leurs parents, leurs maisons et leurs oliviers. Le quartier où ils habitent est en reconstruction. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus difficile encore incombe à ces jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire. Au fil de leurs souvenir, Samouni Road dresse un portrait de cette famille avant, pendant et après l’évènement qui a changé leur vie à jamais »

Dans le cadre du cycle de Peuple et Culture consacré à la Palestine, un ciné-débat est organisé en partenariat avec le Centre Polyculturel Résistances (CPCR) pour une projection du film « Samouni Road ». Alternant entre image d’animation et une approche plus documentariste laissant la parole aux victimes de l’opération « Plomb durci », cette projection sera suivie d’un échange sur la situation en Palestine et les perspectives de solidarité.

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Les cafés Populaires sont de retour!

Venez nous retrouver, discutons, réfléchissons et imaginons des possibles…

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Soirée de solidarité avec le peuple palestinien

Nous commençons l’année comme nous l’avons terminé, aussi déterminé-e-s et concient-e-s, que la solidarité est de plus en plus indispensable. Rendez vous donc ce samedi 13 janvier 2024 dés 18h au CPCR pour cette soirée, organisée par le Collectif Liège Palestine Solidarité, dont le CPCR fait partie.